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NOM : MONTEL
PRÉNOM : PIERRE
FONCTION : PRÉSIDENT DU CONSEIL DE SURVEILLANCE

« La technologie doit être simple, efficace et utile aux Commissaires de Justice. »

1. Quel est le rôle du Conseil de Surveillance de l’ADEC ?

Le Conseil de Surveillance de l’Association ADEC a plusieurs missions statutaires qui lui sont confiées en vertu de l’article 17.

D’abord, le contrôle permanent de la gestion de l’Association par le Directoire et le fait de lui donner des avis ou des autorisations préalables à la conclusion de certaines opérations. En pratique, cela signifie que ce Conseil a accès à tout ce qui concerne la gestion de l’Association et la vérification des comptes et des bilans de cette dernière.

Il peut aussi participer statutairement au pouvoir de disposition sur certains biens de l’Association, en concurrence avec le Directoire.

En pratique et au fil des années, il a aussi fait naturellement le lien avec la Direction de la SAS ADEC, à qui la CNCJ avait confié, il y a des années, la gestion des outils de l’Association.

Les échanges sont permanents et transparents et le Conseil de Surveillance s’est voulu aussi, et à l’initiative de mes prédécesseurs, une force de proposition sur de nombreux chantiers ou lanceuse d’idées.

En son sein, siègent des Consœurs et Confrères de régions différentes, travaillant dans des structures de tailles différentes, avec des logiciels métiers différents. Certains ont eu ou ont encore des mandats dans la profession. Tous apportent leur sagesse et leurs expériences. Tous sont passionnés et dévoués.

2- Quelles sont les priorités technologiques de la profession auxquelles le Conseil de Surveillance est particulièrement sensible ?

Le plus important est d’avoir, et pour longtemps, la maîtrise de nos outils.

Les Études sont la priorité, donc quelles technologies servent le mieux leur activité au quotidien ? Ce sont les réponses à cette question qui définissent les priorités auxquelles le Conseil de Surveillance est sensible.

La technologie doit être simple, efficace et utile aux Commissaires de Justice. Elle doit davantage s’adapter à notre métier que l’inverse.

Mais surtout, nous, Commissaires de Justice, devons être souverains. Nous devons disposer de nos propres outils technologiques et numériques, ces outils doivent être en constante évolution pour s’adapter aux progrès et aux avancées techniques. Nous devons continuer à être souverains sur nos outils et sur nos données. Nous y parvenons, nous continuerons. C’est le cas de la technologie Blockchain pour laquelle l’ADEC offre de nombreuses possibilités aux Études. La piste du Zéro Papier est aussi une voie à envisager sérieusement. Nous gagnerons en efficacité et en qualité.

3- L’efficacité et la qualité vous tiennent à cœur, pourquoi ?

Pour moi, l’un ne va pas sans l’autre et notre métier qui est un métier de service, nous le rappelle tous les jours. Je considère donc que si c’est bien fait et que ce qui est proposé est utile pour moi, cela le sera aussi pour les autres, autant donc bien le faire et le rendre efficace.

La perfection n’existe pas dit-on, mais il faut essayer de s’en rapprocher. À nous d’y travailler et dans tous les domaines.

Cette vision des choses a donc pour moi toute sa place au sein de l’ADEC et les services qu’elle doit proposer aux Études.