NOM : KUNN
PRENOM : LOAN
FONCTION : CHARGÉE DE MISSION ADMINISTRATIVE
1. Pourquoi votre activité vous paraît-elle positive ?
Le côté positif de mon activité a deux aspects principaux :
- L’importance des tâches réalisées pour le professionnel pour lequel nous travaillons : le commissaire de justice.
- L’envie d’être toujours plus performante et force de proposition au service du commissaire de justice.
Parmi mes différentes tâches, je dois fournir au professionnel un certificat d’authentification et de signature qualifié. Il s’agit d’un outil indispensable pour la conduite de ses missions. Je dois, par conséquent, m’assurer de la qualité de la prestation rendue et participer également à l’optimisation de cette tâche afin que le commissaire de justice soit servi dans les meilleurs délais.
C’est un poste que j’occupe depuis plus de 20 ans, je pense être à la hauteur de la tâche qui m’est confiée. Je suis autonome, et cela représente reconnaissance et confiance de la part de la direction, c’est gratifiant !
2. Comment rend-elle plus facile la vie des CDJ ?
Rien de plus simple, ce service rendu ne doit pas paraître à leurs yeux comme une contrainte. Je m’y attache au quotidien.
3. Une anecdote vous concernant ?
Ce sont plus des souvenirs que des anecdotes. Le meilleur souvenir que je garde est le bonheur d’avoir connu l’ADEC à ses débuts, avec Maître VOILLEQUIN (l’un des créateurs de l’ADEC), une personne profondément humaine et généreuse, dotée de nombreuses qualités, qui me parlait de sa famille, ses vacances, ses repas familiaux et son petit jardin et Maître BELOT, un ancien Président de la Chambre Nationale qui avait toujours le sourire et un mot gentil pour toutes les personnes qui le croisaient.
Ce sont de belles rencontres que l’on n’oublie pas.
4. Un sujet libre ?
Je suis passionnée par la danse et mes vacances tournent autour de cette activité que je pratique depuis plus de 20 ans.
J’ai pas mal voyagé, mais le plus beau souvenir restera la croisière Rock/Boogie que j’avais faite avec quelques amis, l’année dernière. Nous n’étions que 5 français et les 300 autres danseurs étaient principalement des Allemands.
La barrière de la langue ne nous a pas empêché de communiquer, de rire et de partager cette passion commune.
Ma prochaine croisière au pays du Jazz promet d’être encore plus fabuleuse.
